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A l'origine

... de l'Association, l’histoire de Lou*, qui, à la veille de ses 16 ans, annonce à ses parents qu’elle est un garçon.

A l'origine...

Royaume-Uni: « La médecine pédiatrique de genre repose sur des bases précaires ». 

 

Le Rapport Cass sur les soins donnés aux jeunes qui se déclarent du sexe opposé a paru le 10 avril, et ses conclusions accablantes font la Une de la presse britannique, du Guardian à la BBC, du Times au Telegraph (voir liste complète des articles ici)

 

Initié en 2020 à la demande du gouvernement, suite à la décision de la Haute-Cour dans le procès qui opposait la détransitioneuse Keira Bell au NHS (Service de santé national), et conduit de manière indépendante par la pédiatre Hilary Cass, le Rapport Cass, établit que la pratique « trans-affirmative » qui consiste à prendre pour acquis le ressenti du jeune, et à prescrire des bloqueurs de puberté, des hormones transexuelles et de la chirurgie génitale et du torse sur la base d’un auto-diagnostic, ne repose pas sur des données probantes et fiables et que les conséquences à long-terme de ces interventions sur la santé psychique et physique sont méconnues. Les bénéfices potentiels quant à eux demeurent peu clairs. Etayant les observations de l’experte sur 388 pages et s’appuyant sur une dizaine d’analyses systématiques d’études sur des thèmes spécifiques, ce rapport d’audit constitue la recherche la plus fouillée et la plus actualisée produite sur le sujet brûlant et controversé de l’accompagnement des jeunes qui se questionnent sur leur sexe. Il se conclut par plus de trente recommandations.

 

Le Rapport Cass confirme les conclusions des précédentes études systématiques conduites en Suède, en Floride et en Allemagne : bloquer la puberté d’un jeune, lui prescrire des hormones expérimentales et de la chirurgie contrevient au respect au principe fondamental qui dirige la pratique médicale: d’abord ne pas nuire. Dr Cass relève que les médecins ont prescrit des traitements sans disposer de toutes les informations nécessaire pour s’assurer de leurs bénéfices et de leurs risques. Dans de pareilles circonstances, les jeunes ne peuvent être considérés avoir donné un consentement éclairé aux traitements hormonaux et chirurgicaux qui leur ont été prescrits.

 

Les 9000 enfants qui ont consulté le GIDS du Tavistock de Londres n’ont en outre pas fait l’objet de suivi, ce qui constitue une grave entorse à l’éthique médicale.

 

Le rapport épingle également la transition sociale des enfants, déjà remise en question dans le rapport intérimaire rendu public en 2022. La réaction du NHS à la publication du Rapport Cass a été immédiate: les recommandations vont être prises en compte. Le NHS a aussi annoncé qu’il allait lancer une consultation et un examen rigoureux des hormones transexuelles, ainsi qu’un audit des cliniques « du genre » pour adultes. Pour rappel, suite à la publication du rapport intérim Cass en février 2022, une consultation et un examen des bloqueurs des puberté avait été diligentés, résultant, il y a un mois, dans l’abandon de la prescription de bloqueurs de puberté pour le traitement de la « dysphorie de genre », même dans le cadre de la recherche.

 

Les conclusions du rapport Cass confirment les doutes et craintes profondes émis par les parents depuis plusieurs années. Sous couvert de bienveillance, des médecins ont joué aux apprentis sorciers avec le corps de nos enfants.

Etat des lieux

Depuis moins d’une décennie, le nombre d’adolescentes et adolescents consultant pour un sentiment d’incongruence entre leur sexe biologique et leur genre ressenti (souffrance nommée « dysphorie de genre ») a explosé dans les pays occidentaux, sans que l’on ne comprenne véritablement pourquoi.

Questions &

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Controverses

L’accompagnement dit "trans-affirmatif" et en particulier les traitements hormonaux des enfants et des adolescents souffrant de dysphorie de genre font l'objet de plus en plus de controverses.

Clause de non-responsabilité: ce site est à but informatif uniquement. Il n'a pas pour but de conseiller les parents, les proches ou les jeunes sur quoi faire en cas de questionnement de genre chez un jeune. Ce site cherche des réponses à des questions scientifiques encore trop floues sur les effets des protocoles d'affirmation sur les pourcentages de désistement/détransition (jeunes qui cessent de s'identifier à un "genre" n'étant pas celui de leur sexe de naissance), ainsi que sur le futur des jeunes gens qui ont suivi un traitement de "réassignation du genre" médical, dont le nombre a explosé ces dernières années. 


Ce site a pour but d'attirer l'attention sur l'importance d'adresser ces "questionnements de genre" chez les jeunes de manière ouverte et transparente, et de favoriser une approche modérée, diversifiée et non militante. Les études démontrent que rejeter les jeunes qui se questionnent sur leur "genre", nier leur expérience, ou suggérer qu'ils ne seraient plus aimés et soutenus suite à une "transition", peut avoir un impact négatif sur leur santé mentale. Une "transition hâtive" peut également s'avérer néfaste pour les jeunes, et de plus en plus d'exemples de ces cas sont documentés. Nous sommes en faveur d'un modèle de soin de la santé mentale basé sur la science, où les jeunes qui se questionnent sont soutenus et aidés, où ceux qui désistent/détransitionnent sont soutenus et protégés, où les traitements médicaux sont perçus comme étant de dernier recours, et pas comme une mesure de premier recours sans conséquence.

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